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CBD & Cancer : Du cannabidiol pour soulager certains symptômes ?
CBD & Cancer : Du cannabidiol pour soulager certains symptômes ? Ces dernières années, de nombreuses études se sont concentrées sur le cannabidiol et ses vertus thérapeutiques. La molécule a déjà prouvé son efficacité face aux petits maux du quotidien comme la douleur, les troubles du sommeil et l’anxiété. Désormais, les scientifiques se tournent vers la possibilité d’administrer le CBD chez un patient diagnostiqué du cancer. Un traitement efficace pour différents symptômes de la maladie Le cancer est le résultat de la production par le corps de cellules anormales. Ces dernières s’accumulent pour former une masse ou une tumeur maligne. Le CBD n’agit pas directement sur le cancer ni la progression des cellules cancéreuses. Cependant, il soulage les effets secondaires à différents stades de la maladie et renforce le système immunitaire. Le cancer cause des troubles sur l’état de santé du patient en général. Il entraîne entre autres la dépression, de l’anxiété et provoque des douleurs intenses. Ayant déjà fait l’objet d’études sur ces symptômes, le CBD apporte un soutien aux personnes atteintes du cancer. Le système endocannabinoïde du corps possède des récepteurs qui interagissent avec les cannabinoïdes du chanvre. Le CBD permet de soulager la douleur et les inflammations ressenties par le patient même en phase terminale. La pression exercée sur les organes du corps et les lésions nerveuses deviennent alors plus supportables. Favorisant la sécrétion de sérotonine et de glutamate, le cannabidiol augmente aussi la bonne humeur. L’anxiété peut être à l’origine des troubles du sommeil et provoque une insomnie chez de nombreuses personnes atteintes d’un cancer. Connu pour ses vertus sédatives, le CBD détend le corps et soulage efficacement l’angoisse. Soulager les effets secondaires des traitements prescrits Les traitements prescrits pour guérir le cancer sont généralement la chimiothérapie, la radiothérapie et l’intervention chirurgicale. Ils causent toutefois des désagréments pour les patients, les empêchant d’avoir une vie normale. Par exemple, en ciblant les cellules cancéreuses, la chimiothérapie peut atteindre celles qui sont saines. Ces dernières se développent alors rapidement et perturbent l’organisme. Cela cause notamment les nausées et vomissements, la perte d’appétit, la fatigue, le stress et l’irritabilité. Ces effets indésirables sont cependant temporaires, mais très gênants. Le CBD aide ainsi les malades à affronter sereinement un traitement anticancéreux. Le cannabidiol traite avec le système endocannabinoïde pour réduire la douleur et les inflammations dues à la prise de médicaments. Il parvient à un meilleur résultat que les opioïdes qui ne sont plus efficaces à un certain degré. D’ailleurs, le corps le tolère, même à une dose supérieure et sans aucun risque d’effet euphorisant. Le CBD stimule également l’appétit et régule l’humeur de la personne concernée. L’acide cannabidiolique ou CBDA possède des vertus anti-nauséeuses et anti-vomissement. Pour en profiter pleinement, il est important de choisir un produit de cannabis à spectre large ou complet. L’effet d’entourage est connu pour amplifier les actifs des particules. Le CBD et les problèmes du foie Lorsque le triglycéride s’accumule dans le foie, il provoque la stéatose hépatique. Sa cause est assimilée à l’alcoolisme et à l’obésité. D’ailleurs, le taux de personnes atteintes de cette maladie est d’un tiers aux États-Unis. De plus, dans ce pays, l’obésité est un problème fréquent. La fatigue et les petites crampes abdominales en sont les principaux symptômes. En l’absence d’un traitement efficace, cette maladie bénigne peut provoquer un cancer, une fibrose ou une cirrhose. Par ailleurs, la stéatose hépatique ne se traite pas avec des médicaments, mais avec une bonne hygiène de vie. Se basant sur des théories, les scientifiques proposent le CBD pour améliorer la santé du foie. Le Professeur Terence Bukong a pu constater les effets du cannabis sur 320 000 individus. Ayant pris du CBD et de l’alcool, ces derniers ont réduit leurs chances de développer une hépatite de 40 %. Il précise toutefois que le THC et le CBD doivent agir ensemble pour donner des résultats satisfaisants. Le rapport de la NHS ou National Health Service en 2010 vient appuyer cette théorie. Après avoir effectué des recherches, le système de santé britannique atteste le rôle du CBD face à la stéatose hépatique. Stimulant les récepteurs CB1 et CB2, le cannabidiol fait baisser le taux de triglycérides de l’organisme. Pour une cause méconnue, l’effet inverse est toutefois remarqué chez les patients atteints de l’hépatite C. Les théories concernant l’effet anti-cancer du cannabis Les cannabinoïdes ont une structure chimique similaire aux endocannabinoïdes de l’organisme. Agissant sur les organes du corps, ces derniers doivent en théorie contrôler les cellules. Les recherches sur les actions du CBD contre le cancer se poursuivent. Toutefois, les études menées jusqu’à présent ont été réalisées sur des animaux ou sont encore au stade in vitro. Malgré le manque d’essais cliniques pour confirmer les résultats, de nombreux témoignages parlent des désagréments soulagés par le CBD. De nombreux pays dans le monde ont déjà légalisé la marijuana thérapeutique. Cette dernière est notamment prescrite pour les pathologies lourdes comme le cancer et le sida. On soupçonne au CBD des actions sur l’angiogenèse. La théorie veut qu’elle empêche de nouveaux vaisseaux sanguins de s’approvisionner pour couper l’alimentation des cellules cancéreuses. Le cas d’une femme de 80 ans guérie du cancer du poumon grâce au CBD a fait le tour de la toile. Souffrant également d’hypertension, d’arthrose et d’une maladie pulmonaire obstructive chronique, elle aurait vaincu la maladie sans arrêter sa consommation de tabac. Au cours des deux ans et demi de traitement, la tumeur a reculé de 41 mm à 10 mm. Cette femme a pris de l’huile de chanvre à raison de 0,5 ml deux à trois fois par jour. Le produit était puissant, avec 19,5 % de THC, près de 20 % de CBD et environ 24 % de THCA. Le mode d’ingestion recommandé Le CBD se décline en différents types de produits suivant les habitudes de consommation de chacun. En fonction de la composition, il en existe trois types à savoir l’isolat, le full spectrum et le broad spectrum. Le cannabis à spectre complet contient tous les cannabinoïdes et terpènes du chanvre dans des proportions différentes. Il est marqué par l’effet d’entourage où chaque composant contribue au bien-être du patient. Avec le spectre large, le produit propose les bienfaits d’une bonne partie des molécules de la plante. L’isolat de CBD, en revanche, est exclusif. Il contient du cannabidiol à environ 99 %, et est souvent présenté en cristaux. Cette forme poudrée se mélange avec des aliments ou d’autres produits du cannabis. L’isolat intègre en effet les recettes culinaires, la base e-liquide, l’huile végétale et les crèmes. L’absorption de l’huile de CBD par voie sublinguale, à travers les muqueuses buccales, est très rapide et efficace. L’e-liquide est également très pratique, mais ne convient pas toutefois en cas d’inflammation localisée dans la bouche ou les poumons. La pilule est une alternative plus pratique, surtout pour éviter le goût naturel. Enfin, le CBD agit différemment d’une personne à une autre, et le dosage requis n’est pas non plus le même. Il faut commencer par une faible dose au début et l’ajuster au fur et à mesure. En cas de doute, un médecin saura prescrire la quantité adaptée.
Voir plusMaladies rénales : L'impact du CBD dans le traitement des problèmes rénaux
Maladies rénales : L'impact du CBD dans le traitement des problèmes rénaux Aujourd’hui, on estime environ 6 millions d’individus souffrant d’une pathologierénale en France. 11 000 d’entre eux envisagent de débuter une dialyse. Grâce àses effets analgésiques, antioxydants et anti-inflammatoires, le CBD peut êtreenvisagé comme une alternative efficace. Les recherches se poursuivent sur lesbienfaits de cette molécule sur une maladie rénale chronique. Voici les avantagesprocurés par le CBD pour atténuer la douleur causée par les problèmes au niveaudes reins. Les reins, essentiels au bon fonctionnement de l’organisme Les reins sont souvent négligés. Pourtant, il s’agit d’organes vitaux de l’organismeayant des fonctions extrêmement importantes. En effet, ils servent à éliminer lestoxines restées dans le sang de manière constante. Ils assurent égalementl’équilibre entre l’eau et les minéraux, tels que le calcium, le sodium, le potassiumet le phosphore.Le bon fonctionnement des reins est aussi essentiel, étant donné qu’ils fabriquentles hormones à l’origine du développement des globules rouges. De plus, cesorganes permettent de stabiliser l’homéostasie. Ainsi, les hormones commel’érythropoïétine, le calcitriol et la rénine, peuvent se libérer.Il faut savoir que les néphrons sont chargés de filtrer le sang. Près de 180 litresd’hémoglobines sont ainsi purifiés quotidiennement. À la suite de cette filtrationintensive, de l’urine apparaît. Celle-ci se dirige ensuite vers la vessie afin d’y êtrestockée momentanément.Tout problème rénal peut vite engendrer des soucis de santé généralisés dansl’ensemble du corps. Des éléments toxiques s’entassent dans les vaisseauxsanguins. Une altération du pH sanguin ou une pression artérielle accroissantpeut également se produire.Lors d’une insuffisance rénale, le rein est incapable de filtrer les déchets toxiquesrestés dans le corps. L'accumulation de ces substances nuisibles peut causer degraves problèmes de santé. Afin de diagnostiquer une maladie rénale, la personnedevra subir différents tests et analyses. Que faut-il savoir sur les maladies rénales ? La maladie rénale chronique est l’une des causes majeures de pertes en viehumaine dans le monde tous les ans. Ce qui correspond à environ 10 % de lapopulation planétaire d’après la National Kidney Foundation. Certainsmédicaments, des blessures, des troubles génétiques peuvent être à l’origine d’une maladie des reins. Ces facteurs empêchent tout simplement le bon fonctionnement de ces organes.Il existe différents types de troubles rénaux. L’insuffisance rénale chronique, lesinfections urinaires, les kystes, l'insuffisance rénale aiguë et les calculs rénaux sont parmi les plus connus.Les néphrons constituent les principales cibles des maladies rénales. Denombreuses complications peuvent survenir chez une personne souffrantd’insuffisance rénale aiguë (IRA) telles qu’un surplus de potassium. L’un dessymptômes les plus marquants est l’incapacité de l’individu à uriner. L’évolution dela maladie est en fonction de la cause. Le rétablissement du patient est assuré si le rein subit une perfusion rapide. Pour une défaillance complète des reins, le patient devra subir une dialyse ou une greffe.En cas d’insuffisance rénale chronique (IRC), les lésions rénales surviennent surune période plus longue. En plus, le patient ignore qu’il est atteint de la maladieavant que celle-ci s’aggrave. Concernant les signes apparents de la maladie, il a des impatiences, des crampes au niveau des jambes, se produisant généralement la nuit.Le malade souffre également de troubles du sommeil ou de digestion, dedémangeaisons intenses, etc.Il existe d’autres symptômes indiquant qu’une personne est atteinte de troubles de la fonction rénale. Elle a peu, voire pas d’appétit, souffre de vomissements/nausées, de douleur chronique, d’hypertension ou d’unaffaiblissement de la fonction immunitaire.Plusieurs causes sont à l’origine d’un problème rénal, à commencer par le diabète.En effet, un taux de glycémie en hausse peut générer une détérioration des tissussur l’ensemble du corps et des néphrons. Il faut savoir que les néphrons se trouvant dans les reins sont extrêmement sensibles.La polyarthrite, qui est une maladie auto-immune, est un autre facteur causant untrouble rénal. Celle-ci se développe via quelques facteurs génétiques. Elle secaractérise par une détérioration des articulations touchées par la maladie rénale.La Borréliose ou maladie de Lyme, une infection et une fièvre constituent d’autrescauses d’une insuffisance rénale. Qu’en est-il des effets du CBD dans le traitement de la maladie rénale ? Le cannabis sert essentiellement à traiter les symptômes d’une maladie rénale dont la pression artérielle accroît anormalement. Les résultats de diverses analyses effectuées démontrent que le CBD favorise la bonne santé des reins.Aussi bien pour traiter une insuffisance rénale aiguë ou chronique, le cannabidiolest considéré comme un remède naturel efficace. Le plus intéressant c’est qu’il necause ni effets secondaires ni lésions rénales supplémentaires.Par ailleurs, il a été démontré que le CBD préserve le système nerveux desconséquences néfastes des maladies rénales. Le système endocannabinoïde serépand dans tout l’organisme. La plupart des organes contiennent les récepteursCB1 ou CB2, y compris les reins. Cela signifie que le système endocannabinoïdeaide ce tissu à fonctionner normalement en développant des anticorps. En mêmetemps, il préserve le corps en fortifiant les systèmes immunitaires.D’après une étude réalisée sur les récepteurs CB2, ces derniers empêchent la mort cellulaire en cas de maladie du rein. De ce fait, l’activation des récepteurs CB2 entraîne un effet anti-inflammatoire. Ce qui provoquera une réduction de lafabrication de cytokines.Une autre étude mise sur l’activation du récepteur CB1, associé à un haut niveau de stress oxydatif. L’inflammation étant stimulée, cela cause la mort cellulaire. Il faut savoir que le récepteur CB1 est localisé à l’intérieur des cellules intercalaires des tubes collecteurs, mais aussi au sein des tubes distaux et proximaux.Des études effectuées sur des animaux prouvent qu’une perfusion d’anandamideréduit le débit de filtration glomérulaire. En même temps, elle accroît le débitsanguin des reins, indépendamment des fluctuations de la pression artérielle.De plus, des analyses réalisées in vitro ont mis en avant que le systèmeendocannabinoïde régule le flux sanguin rénal. Par la même occasion, il contribue à la réabsorption tubulaire du sodium.Aussi, selon certaines recherches, le CBD peut être une solution fiable aux opiacés et aux traitements anti-inflammatoires prescrits par les médecins. Ces soins sont prescrits pour apaiser une insuffisance rénale chronique et atténuer lesmanifestations extérieures des troubles rénaux. Celles-ci concernent l’inflammation, la douleur, un état de mal-être global et la nausée.Des études suggèrent également que les cannabinoïdes peuvent être à la foisbénéfiques et avoir des effets indésirables sur les reins. Celles-ci sont encore enphase d’expérimentation. En fait, tout dépend de la maladie rénale dont souffre lepatient et du dosage.Le CBD est transformé par le foie. Néanmoins, il a été démontré que les reins dupatient ne sont pas abîmés. Ce qui rend cette molécule efficace pour atténuer ladouleur. En clair, le CBD est capable de restaurer les lésions rénales et de ralentirl’évolution de la maladie rénale.Ainsi, le système endocannabinoïde assure le bon fonctionnement des reins.Aussi, il les aide à résister lorsque la pathologie commence à se propager. Il est vrai que le CBD présente des effets positifs sur la maladie rénale et aide à la guérison.Toutefois, il est nécessaire de consulter son médecin traitant avant tout usage.Une autre étude réalisée sur les rats prouve que le CBD influe positivement sur lesparamètres biologiques des reins. Il s’agit du taux de créatinine augmentantanormalement en cas de maladie rénale.Par ailleurs, administrer le cannabidiol permet de surveiller la fonction rénale, plusclairement, de l’altérer indirectement en réduisant l’inflammation. Pour évaluer si le cannabidiol a réellement des effets bénéfiques sur le traitement des maladiesrénales, des recherches supplémentaires doivent être effectuées.Concernant l’huile de CBD, aucune preuve n’existe encore permettant d’affirmerqu’elle impacte négativement les reins d’un individu dont l’état physiologique estexcellent. L’huile de CBD est un produit qu’il est possible de trouver auprès defournisseurs connus, suivis de tests de laboratoire obligatoires. Cependant, il estvivement recommandé de consulter un médecin en cas d’incertitude et privilégieruniquement les produits CBD fiables.D’autre part, le CBD renferme une multitude de vertus. Il possède notamment unevaleur médicinale pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale chronique. Ila été attesté que le CBD a de nombreux avantages pour le patient désirant guérird’une maladie rénale chronique. Ou bien, souhaitant atténuer les symptômes.Avant tout, cette molécule permet d’atténuer totalement la douleur afférente auxeffets secondaires liés aux maladies des reins. Il s’agit des effets secondaires qui se manifestent fréquemment. Aussi, le CBD permet de réduire l’évolution de lamaladie et de diminuer une inflammation rénale.En outre, possédant un effet antioxydant, le CBD préserve les reins des dommages oxydatifs. Il faut aussi qu’il soit doté d’un effet antibactérien. Cela lui permet deréduire les douleurs localisées au genou.Chez une personne consommant des cannabinoïdes de synthèse, le rein est exposé à de nombreux risques. Ces derniers peuvent être à l’origine d’insuffisance rénale aiguë. À ce jour, aucune preuve ne confirme ou ne réfute une corrélation entre ladétérioration complète de la fonction rénale et la consommation de cannabis.Quoi qu’il en soit, aucune étude clinique valable portant sur les risques rénauxrattachés à l’usage de cannabinoïdes n’a été recensée. Seules des études de casont été publiées au niveau de la littérature scientifique. Ce qui réduit les assimilationsde causalité. En plus, plusieurs rapports d’analyses axés sur des tests in vitro incitent à prendre toutes les précautions nécessaires. Combien de CBD faut-il prendre pour une maladie rénale ? Une maladie rénale est une pathologie grave. Avant de procéder à un traitementpotentiel, il est important d’en parler à son médecin. Le non-respect de cettecondition peut avoir des conséquences graves pour le patient. D’ailleurs, afin deconnaître l’étendue de cette maladie, il est conseillé d’effectuer un test de piqûrecutanée, mais aussi une analyse de sang.Cela dit, de plus en plus de malades souffrant d’insuffisance rénale terminalepréfèrent se tourner vers le CBD. Ce dernier est considéré comme étant untraitement d’appoint. Il devra être suivi de certains médicaments et dechangements (parfois radicaux) dans le régime alimentaire et/ou le style de vie.Bien souvent, déterminer la dose de CBD adéquate n’est pas simple. En effet,l’impact de cette molécule diffère d’une personne à une autre. Aujourd’hui, peu derecherches ont permis de définir la dose idéale de cannabidiol à prendre en cas de maladie rénale.Les recherches réalisées jusqu’à maintenant étaient basées sur l’aspect bénin del’usage du CBD en cas d’insuffisance rénale. Toutefois, il vaut mieux appliquer des doses élevées de CBD afin d’avoir les effets escomptés.La dose de cannabidiol doit se situer dans la zone supérieure du spectre pour lutter efficacement contre les maladies rénales. Néanmoins, à chaque application du CBD, il est préférable de débuter avec une petite dose, puis de l’augmenter petit à petit. Surtout, si le consommateur sait précisément la progression de sa maladie.En vue d’obtenir une satisfaction totale, de nombreuses personnes préfèrent setourner vers le CBD, compte tenu de ses nombreuses propriétés. Dans ce cas, ilfaudra connaître la dose autorisée de CBD à prendre. Il faut noter que son efficacité n’est pas la même chez tous les consommateurs.En plus, les recherches réalisées sont insuffisantes pour avoir une précisionconcernant la dose de CBD nécessaire en cas d’insuffisance rénale. Les étudeseffectuées sont basées sur l’aspect bénin de l’usage du CBD pour les animaux encas de maladie rénale.Concernant l’huile de CBD, elle doit être utilisée à faible dose pour comprendre son fonctionnement par rapport aux troubles infectieux. La quantité peut être augmentée au fil du temps.
Voir plusLe CBD chez les adolescents : une solution contre l’anxiété ?
Le CBD chez les adolescents : une solution contre l’anxiété ? Le stress, la dépression et l’anxiété font partie des maux de la société actuelle. Les consommateurs de CBD se sont certainement déjà demandé s’il existait un produit de chanvre adapté. La réponse est affirmative puisque le traitement des troubles d’anxiété figure parmi les vertus du cannabidiol. La consommation pendant l’adolescence est un point important abordé dans cet article. L’âge légal pour prendre du CBD L’âge requis pour acheter un produit issu du chanvre légal varie d’un État à un autre. Généralement, il est de 18 ans, comme c’est le cas en France. Cette limite peuttoutefois aller jusqu’à 21 ans dans certaines contrées comme le Canada, et ce, depuis le premier janvier 2020. La consommation de CBD n’est cependant pas interdite aux mineurs. De nombreuses études attestent même de ses vertus calmantes pour lutter contre le stress, l’état dépressif ou l’anxiété chez les adolescents.Aux États-Unis, la législation reste encore floue concernant l’âge minimum pour se procurer du cannabidiol. Les dispositions diffèrent d’un pays à un autre. En Virginie, par exemple, l’achat du cannabis devient légal lorsque l’adolescent présente une ordonnance. Des parents sont toutefois méfiants vis-à-vis du CBD, ne connaissant pas très bien sa différence avec les autres cannabinoïdes. Le THC ou tétrahydrocannabinol est pratiquement la substance psychoactive et addictive. Le cannabidiol, lui, est tout à fait sûr et ne présente pas de danger pour la santé. Ainsi, prendre du CBD n’équivaut pas à consommer de la marijuana. Certaines études démontrent aussi l’efficacité des cannabinoïdes contre la sclérose en plaques.Le CBD proposé sur le marché a d’ailleurs déjà été soumis à différentes études sur les adultes. Certains essais s’avèrent même prometteurs concernant l’utilisation de la molécule sur des jeunes sujets. Pour consommer du CBD en toute sécurité et ne pas perdre le contrôle, il faut suivre scrupuleusement les recommandations du médecin. L’efficacité du CBD contre les troubles anxieux Les enfants et les adultes peuvent éprouver de l’anxiété, un trouble psychologique bien connu. Les symptômes sont susceptibles de survenir à tout moment à l’école, au travail ou à la maison. Ces crises se présentent de différentes manières allant des petites craintes aux excès de colère et la sensation de ne pas respirer. Il s’agit d’une réponse tout à fait naturelle de l’organisme face à des situations stressantes.Des études ont démontré que ces manifestations sont en réalité dues à une faiblequantité de sérotonine dans le cerveau. Les antidépresseurs ISRS sont lesmédicaments normalement prescrits pour la gestion de l’anxiété et du stress. Toutefois, a plupart des traitements de capture de ladite hormone provoquent des effets secondaires comme les insomnies.L’huile de CBD se présente comme une solution plus naturelle pour parvenir à unrésultat fiable. De plus, elle n’occasionne aucun inconvénient pour la santé. Sesprincipes actifs stimulent les récepteurs qui sont liés à la production de sérotonine.L’huile de CBD est également indiquée pour diminuer les signes de panique au cours des périodes de dépressions.Concernant les personnes souffrant d’insomnie, le CBD apporte une sensation de calme pendant le sommeil. Il favorise aussi le prolongement de la détente le lendemain. Actuellement, la molécule est même reconnue en tant que complément alimentaire agissant en faveur du bien-être au quotidien.Le choix du CBD est également logique pour les cas ne requérant pas la prise demédicaments lourds. En effet, cette substance convient tout à fait au traitement de l’anxiété à court terme. L’utilisation dans un but récréatif est toutefois interdite pour les plus jeunes. La consommation de cannabis chez les adolescents En France, le CBD est légal et n’est pas qualifié en tant que stupéfiant. Il agit sur la santé mentale et comportementale. Même si la vente aux mineurs est interdite,nombreux sont les adolescents qui en prennent. Cela a été favorisé par le confinement dû à la pandémie du Covid-19.À titre d’exemple, une enquête a été menée auprès d’un adolescent après sadécouverte du CBD. Étant un timide maladif, il avait toujours la phobie des situations sociales comme s’exprimer en public. Il a évolué grâce au cannabidiol. À une époque, il avait même du mal à trouver le sommeil et à étudier sereinement. Quelques gouttes d’huile de CBD sous la langue avant de dormir lui ont permis de se relaxer. La prise de ce produit lui a été suggérée par sa mère qui était plutôt réticente au début.De nombreux parents ignorent encore ce qu’est le CBD et quel type de pathologie il peut guérir. D’ailleurs, la substance n’est pas psychoactive et il est difficile de déterminer si son enfant en consomme ou non.Le vapotage est de plus en plus populaire auprès des jeunes et offre une alternative aux fumeurs. Sa forme la plus connue est la cigarette électronique. Selon un sondage effectué sur 803 consommateurs de cannabis, le mode le plus prisé reste le produit à fumer. Cette méthode obtient 45 % des ventes contre 24 % pour la prise sublinguale. La vape arrive en troisième position avec 13 %, juste avant l’infusion qui arrive à 11 %.L’industrie présente le CBD comme un produit de bien-être. Les jeunes l’utilisent en tant que remède homéopathique pour calmer leur angoisse profonde et leur anxiété sous toutes leurs formes. Combattre l’anxiété par l’huile de CBD Différents tests attestent de l’effet anxiolytique du CBD à des fins médicales. Son action est assimilable à celle du Xanax et du Prozac, des médicaments agréés. Pour lutter contre l’anxiété, il faut mobiliser davantage de sérotonine vers le système nerveux central ou stimuler la neurogenèse. L’huile de cannabidiol permet de véhiculer plus de sérotonine vers le cerveau.La consommation de CBD est également bénéfique pour les individus émotionnellement instables, souvent tristes ou victimes de dépression. L’huile de cannabis est un produit reconnu qui apporte de la détente et du bien-être. Loin d’être un médicament, elle ne guérit pas les troubles psychiatriques graves, mais contribue à l’amélioration de l’état du patient. L’utilisation d’une huile de qualité est importante pour parvenir à un résultat rapide. Il est possible de la consommer de différentes manières : en vaporisation, par ingestion ou à travers les boissons.La quantité de CBD nécessaire dépend notamment de la gravité des symptômes. Un faible dosage, à l’exemple d’une cartouche destinée au vapotage, suffit pour dissiper l’état de nervosité au quotidien. Pour les prises de panique ou les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), une quantité plus importante est indispensable. Quant aux maux liés à un état post-traumatique, la prise de CBD sera également plus fréquente.Pour éviter les effets indésirables du THC, celui-ci doit être inférieur à 0,2 %. Au-delà de cette limite, le produit est même illicite. Lors du sevrage du THC, le CBD peut en inverser les effets : crises d’angoisse, de panique, rythme cardiaque accéléré, etc.
Voir plusCBD & test salivaire : comment ça marche ?
CBD & test salivaire : comment ça marche ? En France, l’usage de stupéfiants tout comme la consommation d’alcool excessive sont prohibés. La prise de ces produits constitue un danger surtout pour les automobilistes. Afin d’assurer la sécurité routière, les autorités ont donc mis en place les tests salivaires. Le point sur le sujet. Rappel sur la loi concernant le CBD La France combat activement la consommation de drogue sur son territoire. Cependant, l’apparition du CBD sur le marché de l’Hexagone donne lieu à de nombreuses polémiques. Extraite de la plante de cannabis, cette molécule est de plus en plus populaire. Toutefois, les instances gouvernementales considèrent les produits à base de CBD comme un stupéfiant à cause de la dose de THC qu’ils contiennent. Plusieurs débats ont donc été lancés autour de ce sujet. Le Code de la santé publique interdit l’usage ou la commercialisation de la plante de cannabis. Bien sûr, certaines variétés de cette substance profitent d’un flou juridique. C’est le cas des fibres et graines tirées du chanvre et employées pour usage industriel. Néanmoins, elles ne doivent contenir que 0,20 % de THC ou moins. À l’inverse, tout produit tiré de la feuille, de la tige ou de la fleur de cette plante est prohibé. Ces réglementations créent la confusion, d’autant plus que l’Union Européenne autorise la vente de produits au CBD. Malgré tout, la France campe sur ses positions. Récemment, le 31 décembre 2021, l’État a résolu le problème en promulguant une nouvelle loi. Elle autorise la vente de produits tirés du cannabis à condition qu’ils aient un taux de THC inférieur à 0,20 %. Cette réglementation ravit les consommateurs, car ils peuvent désormais utiliser du CBD sans craindre une sanction ou une peine d’emprisonnement. Cependant, prendre le volant en ayant absorbé cette molécule est-il dangereux ? Pour éviter une infraction au Code de la route, des tests de dépistage ont été lancés par l’État. CBD et test salivaire Le test de dépistage de drogue fait partie du quotidien des forces de l’ordre. Et avec le flou juridique entourant le CBD, elles ont un nouveau nom rajouté à la liste des produits illicites. Afin d’éviter des accidents routiers, les policiers n’hésitent donc pas à contrôler l’automobiliste lambda. Une conduite dangereuse similaire aux effets de l’alcool au volant peut les pousser à tester les conducteurs. Comment s’y prennent-ils ? Depuis quelque temps, les tests salivaires visant à détecter le CBD sont appliqués aux conducteurs. Plus précisément, ils sont conçus dans le but de détecter la présence de THC dans l’organisme. Pour rappel, cette molécule présente dans le cannabis est illégale. Elle est donc activement traquée chez les consommateurs. Le test réalisé vise donc à repérer des substances psychotropes, dont le THC fait partie. Le test salivaire permet de savoir si un automobiliste est sous l’emprise de la drogue. Un prélèvement de salive est réalisé via une bandelette placée à l’intérieur de la joue. Celle-ci est ensuite glissée dans une solution chimique qui fournit un résultat en quelques minutes. Une réaction survient si la présence de drogue est confirmée. Il faut toutefois savoir qu’il s’agit d’un test qualitatif. En effet, il détecte les traces de substances stupéfiantes dans le corps, mais pas leur quantité. Ce que le test salivaire détermine Les produits au CBD actuels contiennent des traces plus ou moins importantes de THC. C’est notamment le cas des articles à spectre complet, des fleurs de CBD et des e-liquides. Le taux élevé des substances psychoactives (THC) fait que le test est positif. Plus précisément, si celui-ci est supérieur au 0,20 % autorisé, la personne est auteur d’un délit. Sachez que davantage vous consommez des produits au CBD, plus précisément des fleurs, autant vous risquez un résultat positif au test. Leur utilisation quotidienne entraîne une accumulation de THC dans la salive. Ainsi, dans les prochaines 24 heures, vous pouvez être testé positif si vous êtes soumis à un contrôle par un inspecteur. La consommation de cannabis est d'autant plus détectable si vous utilisez des fleurs en combustion. Des études réalisées en Suisse et en Belgique, où ces produits contenant 0,20 % de THC sont légaux, confirment ce fait. Les résultats indiquent que lors d’un dépistage mené sur 19 personnes, dont 6 testées positives, 5 d’entre elles avaient consommé ces fleurs avant le test. Cela signifie donc que les consommateurs réguliers de cannabis se retrouvent avec des traces du produit jusqu’à plusieurs jours après la dernière prise. L’utilité de ce type de test Si les dépistages de CBD via un test salivaire sont de plus en plus courants, ils ont un autre but. Effectivement, ils aident à déterminer si une personne consomme des produits dangereux et si elle est sous l’emprise de stupéfiants. Outre le THC, les nouveaux tests décèlent également les drogues habituelles. Cela inclut les amphétamines, l’ecstasy et la cocaïne. Cet outil est très utile aux policiers. Ces derniers y recourent en accord avec l'article L. 235-2 du Code de la route. Le test est donc réalisé dans le cadre d’un simple contrôle routier ou en cas d’accidents de la route. Il est d’autant plus nécessaire si ces derniers entraînent des blessures graves ou des accidents mortels. Le contrôle peut être appliqué aussi bien aux automobilistes qu’aux cyclistes et aux conducteurs de deux-roues. Les conséquences d’un test positif Pour information, la loi française interdit la conduite sous l’emprise de produits considérés comme étant des stupéfiants. Ce point juridique s’applique au CBD. D’ailleurs, le Code de la route ne fait aucune distinction entre drogue et alcool au volant. Ainsi, lors des contrôles routiers, si vous êtes reconnu coupable d’avoir pris de la drogue au volant, vous serez sanctionné. Suite à un contrôle positif après un dépistage salivaire au CBD, vous encourrez diverses pénalités. Si vous ne vous exposez pas à un retrait de permis, vous pouvez néanmoins perdre 6 points sur ce dernier. Il s’agit là de la conséquence la moins grave de l’usage de drogue (taux élevé de THC dans l’organisme) au volant. Selon la teneur de stupéfiant détectée dans son corps, une personne peut encourir des poursuites plus sévères. Elles se présentent sous la forme d’une amende de 4.500 euros. Dans les cas les plus extrêmes, le coupable écope une peine de 2 ans d’emprisonnement. Sources : https://www.lefigaro.fr/automobile/consommer-du-cbd-au-volant-quels-sont-les-risques-20211221#:~:text=Or%20si%20la%20l%C3%A9gislation%20fran%C3%A7aise,consommation%20d'alcool%20au%20volant. https://www.planposey.fr/articles/cbd-test-salivaire#:~:text=Le%20CBD%20contient%20des%20traces,y%20a%20peu%20de%20risques. https://www.lessurligneurs.eu/la-legislation-du-cbd-en-france/#:~:text=Le%2030%20d%C3%A9cembre%202021%2C%20la,0%2C20%25%20de%20THC
Voir plusCBD et THC : Quelles sont les différences ?
CBD et THC : Quelles sont les différences ? Le cannabidiol (CBD) et le tétrahydrocannabinol (THC) sont les composants les plus populaires de la plante du chanvre. Ils ont la même structure moléculaire, dont 21 atomes de carbone, 2 d’oxygène et 30 d’hydrogène. Ces deux cannabinoïdes diffèrent toutefois sur quelques points. La question de la légalité du cannabis La légalisation du cannabis a pris du temps en France. Le flou juridique a toujours existé, faute d’une loi réglementant la vente et la culture du chanvre. Cette situation a déjà entraîné des discordes entre le gouvernement, les acteurs et les consommateurs de cannabis. L’arrêté du 31 décembre 2021 apporte des précisions sur le sujet. Désormais, la culture et la vente du cannabis sont autorisées, le taux de THC étant limité à 0,2 %. La législation n’a en revanche pas établi de restrictions quant à la quantité de CBD dans la plante. C’est donc officiel, l’usage du cannabis concentré en cannabidiol est totalement légal. Le tétrahydrocannabinol, quant à lui, l’est seulement à un taux réglementé. Autrement, il est classé dans les drogues dures. La légalisation de la marijuana n’est pas encore d’actualité et son usage dans un but récréatif constitue une infraction. D’ailleurs, les tests salivaires mis en place permettent de détecter la présence du THC dans l’organisme. D’un autre côté, aucun dépistage n’est nécessaire pour contrôler la présence du CBD dans le corps. Les vertus médicinales attendues du CBD et du THC Les principes actifs des cannabinoïdes imitent les actions des endocannabinoïdes : les molécules responsables de la santé corporelle. Une fois entrés dans l’organisme, ils se connectent à des récepteurs différents, d’où la divergence des effets du cannabis. De manière générale, le THC agit au niveau du système nerveux central tandis que le CBD sollicite d’autres parties du corps. La gestion du stress est attribuée à la consommation de cannabidiol. Celui-ci apaise les tensions, réduit l’anxiété et favorise le sommeil réparateur dans le cas d’une insomnie. L’action contre la douleur chronique est partagée par le cannabidiol et le tétrahydrocannabinol. Toutefois, le THC est un stupéfiant, car il modifie la conscience et réduit les capacités cognitives. Le risque de développer un état anxieux, voire paranoïaque est très élevé chez les consommateurs de ce produit. D’autre part, les personnes qui en consomment ont souvent des pupilles dilatées. Compte tenu de ces remarques sur le plan médical, le THC est classé parmi les substances psychotropes. Le potentiel du CBD est en revanche reconnu par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les différentes modes de consommation de ces substances Le marché du cannabis propose différentes formes de cannabidiol. L’huile du chanvre est utilisée pour le massage, la consommation sublinguale et les préparations culinaires. L’e-liquide, une essence différente de la précédente, est destinée aux cigarettes électroniques. D’autres arômes peuvent être ajoutés pour camoufler le côté brut du cannabis. Le CBD se positionne également dans les cosmétiques et propose des produits capillaires et des soins corporels. Les gélules, la poudre et la résine de cannabis sont également présentes dans les points de vente dédiés. Le THC est souvent utilisé à des fins récréatives et se présente sous forme de joint à fumer. C’est illicite, mais les consommateurs s’en procurent sur le marché noir. Des études lui attribuent cependant un certain potentiel pour la santé, lorsqu’il est employé dans le cadre d’une thérapie. Il est toutefois nécessaire d’observer une grande prudence afin d’éviter les effets secondaires. Des capsules et des huiles de THC sont vendues dans les pharmacies de certains pays. La place du THC et du CBD dans le domaine pharmaceutique Grâce à son potentiel dans le domaine de la santé, le cannabis peut être prescrit médicalement. Dans certains pays, le tétrahydrocannabinol est préconisé pour lutter contre les douleurs aigües. Ces dernières sont souvent liées à la maladie de Parkinson et aux effets de la chimiothérapie. En France, c’est le cannabidiol qui entre dans la composition de certains médicaments et est utilisé à des fins thérapeutiques. Le plus connu parmi ceux-ci est celui utilisé au cours des traitements des personnes épileptiques. Des essais cliniques sont aussi en cours pour les thérapeutiques de la maladie de Crohn ou la sclérose en plaques. Le cannabis médical est présent dans les pharmacies de différents pays comme le Pays-Bas, l’Allemagne, le Royaume-Uni et divers États américains. Ces produits contiennent à la fois du THC et du CBD. Ils sont notamment commercialisés sous forme d’huile, de gélules et de fleurs séchées. Le CBD et le THC peuvent tout à fait agir ensemble à des fins bénéfiques. Les médicaments à spectre complet sont d’ailleurs les plus recommandés pour l’effet d’entourage, contrairement aux isolats. Parfois, le CBD est utilisé lors du sevrage d’une personne ayant pris du THC à fortes doses. Sources : https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/un-arrete-legalise-le-cbd-mais-interdit-de-le-fumer-1375823 https://www.lelabdelendo.com/blogs/infos/quelle-est-la-difference-entre-le-cbd-et-le-thc-quelle-est-la-difference-entre-le-cbd-et-le-thc https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/39008/cannabis-therapeutique-liste-premieres-pharmacies-participant-lexperimentation-devoilee
Voir plusLe CBD peut-il aider à lutter contre l’alcoolisme ?
Le CBD peut-il aider à lutter contre l’alcoolisme ? L'alcoolisme représente un enjeu énorme pour la santé publique. Les problèmes d’éthylisme peuvent engendrer un véritable trouble dans la vie intime, professionnelle et associative d'une personne. En France, l'alcoolisme touche près de 10 % de la population. Le CBD peut-il aider à la lutte contre l’éthylisme ? Est-il possible qu’il accompagne dans un sevrage d’alcool ? Le cannabidiol pourrait-il diminuer la dépendance à cette drogue ? Peut-on diminuer ou arrêter l’alcool grâce au CBD ? Les dangers de la dépendance à l’alcool La consommation excessive d’alcool produit un état d’ébriété mais ne s’arrête pas uniquement à cet effet. L’abus aux substances éthyliques peut entraîner de graves conséquences et provoquer une dépendance. La pénétration de l’alcool dans le corps Lors de la consommation d’une boisson alcoolisée, les doses d’éthyle pénètrent directement dans le viscère jusqu’aux intestins. L’alcool s’introduit tel quel dans les tissus sans changement. Le fait qu’il circule instantanément à l’intérieur du sang constitue un réel problème. Dans un estomac rempli, la quantité d’alcool pénètre et atteint le sang en une demi-heure jusqu’à une heure de temps. À l’intérieur d’un estomac vide, l’éthanol s’y infiltre à un délai compris entre 15 et 30 minutes. À ce stade, le taux d’alcool (la quantité d'alcool sanguin) atteint son maximum puis diminue progressivement. L'alcool est distribué dans tout le corps par le système sanguin, et en particulier dans les organes les plus imprégnés. Il passe dans les cellules hépatiques, à l’intérieur du système cardiovasculaire et cérébral. C'est le foie qui métabolise lentement 95 % de l'alcool, et les 5 % restants sont excrétés par le système respiratoire et rénal. Le reste de ce taux alcoolique est également évacué par la peau grâce à la sueur. Les risques de l’addiction à l’alcool sur la santé Les dépendants à l’alcool sont assujettis à une consommation régulière et répétée de façon abusive. Dans ces circonstances, l’envie de boire ne peut être arrêtée ou contrôlée. L’OMS qualifie de sujets alcooliques les personnes qui présentent les critères suivants : Une forte envie de consommer de l'alcool ; Une difficulté à contrôler la consommation ; Une utilisation continue malgré les conséquences néfastes ; Des troubles du comportement ; Une résistance alcoolique élevée ; Des signes de sevrage physique. Les effets secondaires de l'alcool peuvent endommager la plupart des organes du corps. Sa consommation est susceptible d’entraîner le développement de nombreux troubles et pathologies. Cela impacte en premier lieu sur le système nerveux en créant des troubles de polyneuropathie liés à l'alcool. Une démence d’atrophie cérébrale peut aussi en être générée. On perçoit souvent une encéphalopathie de Wernicke, un syndrome de Korsakoff, et/ou une myopathie alcoolique chez l'alcoolique. On dépiste aussi des troubles mentaux comme le delirium tremens (délire alcoolique) et les hallucinations. Cependant, les affections les plus graves liées à l’alcool concernent les maladies cardiovasculaires, digestives et le cancer. Les risques en lien à cette drogue sont nombreux mais les cas de blessures et les accidents sont fatales. Conséquences psychologiques et sociales de l’alcool La consommation excessive d’alcool n’engendre pas seulement des problèmes de santé. Toute toxicomanie peut conduire à une dépendance psychologique. La consommation d'alcool peut également être associée à une série de troubles dans la société. Elle est aussi susceptible d’engendrer de graves accidents, particulièrement dans le milieu social de la personne alcoolique. En outre, cette dernière peut manifester des comportements violents envers les autres et envers elle-même. Danger de conduite en état d'ébriété L'alcool au volant peut avoir de graves conséquences. Malgré une prévention rigoureuse, il a été observé que l'alcool est la première cause de mortalité dans 20 % des accidents. Dans ces cas, l’alcoolémie de 18 % des conducteurs s’élève à un rapport supérieur à 0,5 g/l. Par conséquent, l'alcool déforme la perception du risque par son effet analeptique. Il donne l'impression d'être invincible et conduit à des attitudes dangereuses dans la rue. Sans oublier l'impact sur la vue, l'ajustement gestuel et les réflexes. Selon les inventaires, l'alcool au volant augmente par 8,5 la menace d'accidents graves. Un conducteur en état d’ivresse remet en cause son permis. En outre, il risque d'être condamné à une amende qui s’élève à 750 euros. Impacts psychiques et sociales L'alcool altère les fonctions du système nerveux central puisque c’est un psychotrope. L'éthanol affecte en particulier la partie frontale du cerveau. Par conséquent, la consommation de boissons alcoolisées entraîne des manifestations comportementales. L'alcool est particulièrement connu pour briser les blocages. Elle favorise donc le « passage à l’acte ». Cette condition entraîne un comportement violent. De même, les alcooliques créent un état de manque qui provoque une agressivité. Par conséquent, les effets des boissons éthyliques produisent inévitablement des échos néfastes sur tous les plans de la vie quotidienne. Il est fréquent d'en constater les résultats de l’addiction qui sont graves tant dans la vie personnelle que professionnelle. Les troubles psychiques et sociaux liés à l'alcool varient. Ils sont mêlés entre égarement, chômage, tensions environnementales, isolement, difficultés financières et délinquance. Face à cela, le syndrome de dépendance affecte aussi gravement l'estime de soi. Comment le CBD peut-il aider à lutter contre la dépendance ? La dépendance est considérée comme un trouble cérébral. On définit les addictions comme une dépendance physique et/ou psychologique à une substance. Les produits qui occasionnent le plus d’accoutumance sont les drogues "dures" comme le tabac, l'alcool, les opiacés et les méta-amphétamines. On compte aussi les hypnotiques, comme les jeux d'argent et les médicaments détournés pour usage excessif. Les sujets soumis aux addictions sont généralement conscients des conséquences néfastes de ces drogues. Cependant, ils sont incapables de les surmonter par eux-mêmes. Ces personnes ont besoin d'aide et d'une assistance médicale. Le syndrome de sevrage brusque peut être fatal pendant la toxicomanie. C’est pour cela que le CBD peut être utile dans la lutte contre les addictions. L’utilisation du CBD dans le sevrage alcoolique Des études sur ce dérivé du cannabis ont révélé un résultat positif sur le sevrage alcoolique. L’éthylisme excessif conduit à une dysfonction physiologique et crée une dépendance physique. Cette sensation est associée à un sentiment d'insuffisance. Ces recherches mentionnent également les autres avantages du CBD dans la lutte contre la dépendance à d'autres substances. Les scientifiques ont également pu observer son effet sur l’humeur et le bien-être. Cependant, il faut noter que le mécanisme de récompense est contrôlé par le système cannabinoïde endogène. Dans la lutte contre l’alcool, le CBD affecte les récepteurs CB1 et CB2 dans le vaste réseau biologique. Il atténue donc les symptômes nocifs du sevrage éthylique. Une observation concernant ce cas a été traitée en 2019 chez un rat alcoolo-dépendant. Ce rongeur a montré que la consommation de CBD réduit de façon significative les récidives pendant le mécanisme de sevrage. Les études concernant l’alcool et le CBD Un malade alcoolique ressent la nécessité pressante de boire des liqueurs à tout moment. Ce processus est accompagné par des mécanismes neurologiques. Dans une recherche réalisée en 2014, on a pu observer que nos neurones sont altérés lors du « comportement de récompense ». Ce phénomène agit sur les récepteurs endocannabinoïdes CB1 et CB2 lorsqu’on consomme de l’alcool en grande quantité. Physiologiquement, cela entraîne une privation, une augmentation du stress et de l'anxiété attribuables à l’arrêt de l’alcool chez l’addict. Cependant, les effets du CBD sur le système cannabinoïde endogène humain sont connus depuis de nombreuses années et font l'objet de plusieurs études. Certains d'entre eux tournent particulièrement autour de l'utilisation du cannabis thérapeutique. Notamment pour lutter contre les dépendances à l'alcool. Les cannabinoïdes s’avèrent efficaces dans le sevrage alcoolique en neutralisant les effets répresseurs de l'éthanol sur le système cannabinoïde endogène. Des tests effectués sur des rongeurs ont révélé que le CBD influe sur le comportement des animaux vis-à-vis de l'alcool. Les rongeurs ayant pris des cannabinoïdes diminuent leur consommation d'alcool. De plus, ils sont moins susceptibles de récidives pendant le sevrage. Ils tolèrent également beaucoup mieux le stress associé à une carence. Par conséquent, le CBD peut être d'une grande aide pour assister les sujets dans les cas de dépendance alcoolique. Les personnes souhaitant réduire leur consommation d'alcool peuvent améliorer la gestion de leurs anxiétés face aux symptômes de sevrage. Le CBD pour se protéger des effets néfastes de l'alcool Le cannabis médical aide également à protéger le corps des effets néfastes de l'éthanol. Une consommation chronique d'alcool cause des dommages à long et court terme aux organes du corps. Les lésions divulguent que l’exposition aiguë survient le plus souvent sur le foie et le cerveau. Les alcooliques ont un foie enflammé. Cet état risque d’évoluer en cirrhose ou en cancer du foie dans les cas de complications. Cependant, le CBD peut jouer un rôle protecteur pour la cellule hépatique. Des recherches menées sur des souris alcooliques ont montré que le traitement au CBD diminue les dommages dans le foie. Les effets protecteurs du CBD peuvent également s’étendre jusqu’aux neurones. Une grande quantité d’alcool entraîne la dégénérescence des cellules nerveuses. Elle produit surtout un effet néfaste pour l'hippocampe et le cortex. Une autre étude chez les rats montre que les consommateurs de CBD alterné avec l'alcool avaient moins de lésions cérébrales. Les dégâts étaient moins graves que chez les animaux consommant exclusivement de l'alcool. Le cannabis médical semble capable de rétablir certaines fonctions cognitives chez les sujets souffrant d'insuffisance hépatique sévère suite à l'ingestion d'éthanol.
Voir plusCBD : Votre allié minceur contre le surpoids ?
CBD : Votre allié minceur contre le surpoids ? Le surpoids constitue aujourd’hui un réel problème sociétal, pouvant avoir de graves conséquences sur la santé d’une personne. Plusieurs recherches ont pu prouver que le CBD peut aider un individu à stabiliser son poids corporel. Effectivement, cette molécule influe sur le système endocannabinoïde chargé entre autres de réguler le métabolisme et les sensations physiques comme l’appétit. Voici de récentes études scientifiques attestant ou réfutant l’impact du CBD sur votre poids. Le CBD aide le métabolisme à perdre du poids Le surpoids et l’obésité sont des phénomènes sociétaux devant être abordés consciencieusement avec le médecin. Une forte proportion de la population mondiale semble être concernée. Leurs causes peuvent être multiples à savoir de mauvaises habitudes alimentaires et une insuffisance d’exercice physique. Une surcharge pondérale s’avère problématique, car elle contribue au développement de maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires ou le diabète. Afin de conserver un mode de vie sain, faire du sport et suivre un régime alimentaire équilibré sont indispensables. Le cannabidiol ne pourra jamais remplacer un comportement alimentaire sain. Néanmoins, des recherches scientifiques ont relevé l’impact du CBD sur la perte de poids via la stimulation des neurorécepteurs CB1. En effet, la satiété pousse la personne à consommer moins d’aliments. En conséquence, elle ingère peu de calories. D’après une étude coréenne, le CBD réduit la graisse corporelle. En effet, il stimule les protéines et les gènes consumés dans les graisses blanches. Aussi, cette molécule favorise l’amaigrissement, car il favorise la prolifération des mitochondries. Ces composants cellulaires aident le métabolisme à brûler des calories. Par ailleurs, deux professeurs émérites, Jong Won Yun et Hilal Ahmad Parray, ont également prouvé un autre bienfait du cannabidiol. Ce dernier transformerait les gras blancs (mauvaises graisses) en gras bruns (bonnes graisses). Par conséquent, un individu pourra perdre du poids facilement. Une autre expérience menée sur des rats obèses a permis de réduire de 25 % le taux de cholestérol à l’issue de l’expérience. Le taux de glycémie sera également réduit à la fin d’un traitement à base de CBD. Les effets anti-inflammatoires et antioxydants de la molécule ont fortement contribué à la diminution de ce taux. Aussi, une étude réalisée en 2012, le cannabidiol serait un excellent coupe-faim. Cette propriété s’explique essentiellement par l’impact de cette molécule sur l’hypothalamus. Une autre recherche réalisée en 2013 prouve que le cannabidiol permet d’équilibrer le niveau d’insuline. Celui-ci normalise aussi le taux de glucose chez les personnes en surpoids. D’ailleurs, si le taux d’insuline continue d’augmenter chez un patient souffrant d’obésité, le processus de perte de poids serait compromis. Au-delà d’améliorer le quotidien des individus souffrant de cancer ou d’arthrose, le CBD aide les personnes souffrant d’obésité à aller mieux. En clair, il leur permet de suivre un régime sain tout en donnant la possibilité de perdre du ventre naturellement. En somme, en plus d’être en bonne santé, le CBD permet aux individus en surpoids d’améliorer leur qualité de vie. Perte de poids : les autres vertus du cannabidiol Outre son effet anti-inflammatoire sur la cellulite et son action coupe-faim, le CBD renferme d’autres bienfaits en cas de prise de poids. En prenant du cannabidiol, ce dernier favorise la propagation de la dopamine dans le métabolisme avec l’aide des récepteurs cérébraux. La personne obèse adoptera alors un style de vie plus sain, essentiel pour perdre du poids. Il faut noter que des facteurs externes peuvent fortement impacter sur le métabolisme et les habitudes alimentaires d’un individu. Ainsi, l’anxiété peut générer un excès alimentaire et des problèmes de sommeil. Renfermant des propriétés relaxantes, le CBD permet à l’individu en surpoids d’être moins anxieux. Ce qui permettra à celui-ci de retrouver le plus rapidement possible une alimentation équilibrée. De plus, en ayant une interaction avec le système endocannabinoïde, le cannabidiol favorise la détente musculaire et un sommeil réparateur. Cette molécule permet aussi de limiter la formation chronique de certaines pathologies comme le diabète. Il faut savoir que les diabétiques font partie des catégories de personnes exposées à la prise de poids. Le CBD constitue de ce fait le meilleur allié minceur pour réduire le risque de surpoids. Pour ceux pratiquant une activité physique pour perdre du poids, la consommation de CBD aide à atteindre cet objectif. Afin d’avoir le poids idéal, il faudra concilier pratique d’une activité physique régulière à une alimentation équilibrée. À ce propos, prendre du CBD permet de booster l’énergie. En même temps, la personne récupère rapidement après ses sessions sportives. Comment utiliser le CBD au quotidien afin de perdre du poids ? Concernant la quantité de CBD appropriée pour perdre du poids, mieux vaut débuter par une faible dose. Pour ce faire, les gouttes à prendre quotidiennement sont à limiter. Par la suite, après avoir constaté quelques améliorations, la dose pourra être augmentée petit à petit jusqu’à obtenir le résultat escompté. Il est important que la dose soit adaptée à la corpulence et au surpoids de l’individu. Par conséquent, il faut débuter entre 5 et 15 mg par jour. Ensuite, la dose augmente jusqu’à 50 mg par jour. Concernant les produits à base de CBD proposés sur le marché sont extrêmement variés actuellement. Le CBD se présente alors sous diverses formes dont les huiles, les compléments en poudre, les vaporisateurs etc. Les experts encouragent l’usage de l’huile de CBD pour gérer des troubles du comportement liés à l’alimentation tels que l’obésité et le surpoids. En effet, en plus d’être facile à consommer, ce type de produit est très répandu. De plus, les effets secondaires de l’huile à base de CBD sont minimes, voire inexistants. Pour l’incorporer à son régime alimentaire, il suffit de mélanger l’huile de CBD à un verre de smoothies ou des boissons énergisantes à base de CBD. Par ailleurs, avant de débuter un régime diététique, les fleurs de CBD favorisent la perte de poids. Cela, de manière efficace, saine et en toute légalité. Le CBD influe-t-il réellement sur la perte de poids ? Selon les scientifiques, le CBD constitue un excellent allié pour limiter la quantité d’aliments ingurgités. En effet, il empêche l’envie de manger en provoquant une impression de satiété. Le CBD, fortement enrichi en nutriments, limite à court terme les fringales à chaque repas. Après seulement quelques semaines, les envies de nourriture diminuent. Cette molécule est aussi connue comme étant un excellent réducteur de stress. Cela a un impact essentiel sur le comportement alimentaire de l’individu. La consommation de CBD accroît aussi l'immunité corporelle. La molécule réagit alors aux composants nocifs, qui provoquent parfois un excès de poids. Cela se produit, car en intervenant sur le système endocannabinoïde, le cannabidiol élimine les éléments toxiques. Des études supplémentaires menées sur l’être humain permettraient de délimiter précisément l’efficacité du cannabidiol par rapport à la perte de poids. Cette molécule ne doit ainsi pas être l’unique moyen de perdre du poids. Néanmoins, le CBD a un impact positif certain sur la santé. En effet, il permet de gérer la dépression, le stress, le manque de sommeil. Il atténue également les douleurs au niveau des articulations. Tous ces troubles constituent des facteurs de prise de poids chez un individu. Enfin, en adoptant une bonne hygiène de vie, le cannabidiol constitue un excellent allié pour enlever un excès de masse. L’accompagnement ou l’encadrement d’un naturopathe, un diététicien ou un nutritionniste concernant le régime alimentaire à adopter peut aussi aider.
Voir plusConsommation de CBD : qui sont les plus intéressés ?
Consommation de CBD : qui sont les plus intéressés ? Longtemps destiné à un usage récréatif, le cannabis est une plante considérée comme une drogue. Les fumeurs de marijuana sont alors perçus comme des contrevenants. Toutefois, diverses études menées sur le chanvre et ses composés cannabinoïdes ont changé la perception sur cette plante dite récréative. Désormais, la dépénalisation du cannabis est en cours grâce à l’usage thérapeutique du CBD, l’un de ses composants. Découvrez qui sont les consommateurs de cannabis en France. Le CBD a tout changé Fumer de l’herbe, des joints ou de la beuh est illégal. Les effets notoires de ces drogues psychotropes ne sont plus à expliquer. D’ailleurs, les services antistupéfiants emploient tous les moyens pour arrêter les consommateurs utilisant ces produits à des fins récréatives. Cependant, la découverte de la molécule de CBD a changé le point de vue sur le chanvre indien. Cette substance contenue dans les plants de cannabis est l’exact opposé du THC. Ce dernier engendre des hallucinations et d’autres effets psychotiques chez les consommateurs. En revanche, le CBD dispose de nombreuses vertus thérapeutiques. Cette molécule a été très démocratisée faisant d’elle le produit-phare pour une grande partie de la population humaine dans le monde. Qui donc sont les consommateurs de ce type de produit ? Le profil généralisé des usagers de cannabis La consommation de cannabis en France et dans le monde est plus ou moins autorisée. Le chemin vers la légalisation de cette plante est encore long. Cependant, son utilisation ne vous fera plus encourir une amende. Ainsi, il existe peu d’études concernant les profils des consommateurs réguliers de CBD. Toutefois, certaines données recueillies ces dernières années mettent en lumière qui sont les fumeurs de cannabis en France. Celles-ci ont également permis de connaître qui procèdent à sa consommation régulière sous diverses formes. Selon les informations obtenues, ceux qui fument du cannabis à des fins médicales sont âgés entre 25 et 45 ans. Ce sont des statistiques intéressantes dans la mesure où aucun adolescent (18-25 ans) ne prend de la marijuana médicinale. C’est une bonne chose car les jeunes de 20 à 25 ans aiment fumer un joint pour son aspect récréatif. Le point spécifique à savoir, c’est que les amateurs de CBD ne sont pas des consommateurs de cannabis. Les personnes de 55 ans et plus consomment moins de cannabis médical. En effet, ils ne représentent que moins de 8 % du nombre total des enquêtés lors des études. Concernant le sexe des consommateurs, les hommes sont de plus grands habitués de l’herbe de cannabis et de ses variantes. Cela tient au fait qu’ils préfèrent fumer le CBD ou l’utiliser avec une cigarette électronique. En revanche, les femmes ne sont pas adeptes de l’inhalation et optent pour des méthodes d’absorption plus douces. Les catégories d’utilisateurs de cannabis thérapeutique Quelqu’un qui consomme du CBD dans un but médicinal n’est plus un fait choquant. L’usage du cannabis aux États-Unis et le reste du monde a entraîné un débat sur la législation des prises de drogues. Si légaliser l’utilisation de chanvre est problématique, la mise en place d’une réglementation stricte a permis d’ouvrir le marché du cannabis à des millions de consommateurs. Voici les différentes catégories de personnes ayant une consommation personnelle de CBD. Les séniors Les personnes âgées profitent pleinement de l’usage autorisé de la marijuana thérapeutique. Cette plante a beaucoup d’arguments en sa faveur ! C’est un puissant anti-inflammatoire et elle soulage de nombreux maux. Ainsi, ceux qui consomment du CBD, surtout les séniors, voient leur sommeil, appétit et/ou humeur améliorés. Ils sont également moins stressés. La principale raison pour laquelle les séniors apprécient le cannabis à usage médical est son pouvoir soignant. Ce produit les guérit d’un grand nombre d’affections liées à l’âge. Il est très efficace contre les douleurs chroniques telles que celles musculaires ou l’arthrose. Très souvent, les personnes du 3e âge privilégient l’usage simple d’infusions, baumes, gélules ou d’huile à taux élevé de CBD. Le fumeur de joint en sevrage Consommer du cannabis dans un but récréatif entraîne une addiction. C’est ce point qui a provoqué sa prohibition et la mise en place de mesures de dissuasion comme l’emprisonnement. Actuellement, un fumeur habitué des joints peut dorénavant utiliser le CBD comme moyen de sevrage. Le chanvre thérapeutique est également parfait pour combattre les effets secondaires apparaissant chez les consommateurs quotidiens de drogues. C’est aussi une solution efficace contre les autres addictions telles que l’alcoolisme. Le CBD est un excellent palliatif pour atténuer les effets du manque au cours du sevrage. Les sportifs Le CBD est considéré comme faisant partie des drogues douces. Ainsi, il n’entre pas dans la catégorie des produits dopants. De ce fait, consommer de la marijuana à des fins thérapeutiques ne pénalise pas les sportifs professionnels. La pratique du sport à un haut niveau affecte grandement le corps des athlètes. Ils peuvent ressentir diverses douleurs ou souffrir de nombreuses blessures durant leurs activités. L’usage médical du cannabis permet de les soulager efficacement. En effet, ses propriétés anti-inflammatoires réduisent les maux physiques des sportifs. De plus, le CBD est un excellent anxiolytique qui réduit la fatigue et leur assure un sommeil de qualité pour une récupération plus rapide. Un produit populaire Depuis quelques années, la notoriété liée au CBD ne cesse de croître. Le nombre d’utilisateurs convaincus par les effets du cannabis thérapeutique est également en hausse. D’après certaines analyses, 80 % des personnes ont noté les vertus de la prise de cette substance. Ils sont donc plusieurs à déclarer avoir pris des produits à base de CBD de manière régulière. L’effet du cannabis en tant que stupéfiant est dangereux. Le CBD extrait du chanvre, quant à lui, est moins risqué. Toutefois, certains consommateurs ont noté certains effets secondaires légers. Ils ont eu la bouche sèche ou ont souffert d’étourdissements ou de somnolence. Néanmoins, ces inconvénients n’ont été relevés que chez une minorité des sondés (10 %). Ainsi, avant toute prise de ce type de produit, il est nécessaire de bien vous renseigner. Votre médecin peut vous instruire sur les différentes méthodes de consommation du CBD. Il peut aussi vous prescrire du cannabis médical selon vos symptômes. Législation et CBD Si la vente de cannabis à visée médicinale s’est popularisée ces dernières années, ce produit est au cœur des polémiques. En tant que drogue douce, le CBD tiré du chanvre profite d’un certain flou juridique. Contrairement à la consommation de marijuana ou d’autres produits contenant du THC, avoir consommé du CBD n’est pas une infraction. Actuellement, la législation sur le cannabis médical constitue un sujet courant des débats politiques. La légalisation de la marijuana nécessite la prise en compte de nombreux enjeux. La fin de la prohibition de cette plante et sa décriminalisation peut entraîner un accroissement du marché des drogues illicites. Du coup, nombreux se mettent contre la législation visant à la légalisation totale du cannabis. En Europe, plusieurs pays sont déjà partisans de la légalisation de la marijuana médicale. C’est notamment le cas de l’Autriche ou du Benelux. La Suisse, quant à elle, est le premier pays consommateur de CBD. L’Italie par exemple fait partie des cultivateurs de cannabis dans l’Union Européenne. En France, le CBD est disponible à la vente. Pourtant, le pays est le dernier à promouvoir la légalisation du cannabis. Quelle est la raison de ce paradoxe ? Il est dû à l’image négative de la consommation d’herbe ainsi qu’aux dangers du cannabis. Cependant, la vision du public concernant le chanvre change de plus en plus. Le flou juridique sur le sujet et l’intérêt croissant des consommateurs provoquent donc le développement des cultures du cannabis. Cela occasionne aussi la multiplication en nombre des boutiques spécialisées dans le commerce de CBD dans l’Hexagone.
Voir plusLe développement de la production de CBD se poursuit
Le développement de la production de CBD se poursuit Le cannabis contient différentes molécules comme le THC qui est une substance psychotrope et le CBD qui n’en est pas. Avant les dernières confrontations avec l’État, le marché du CBD était dans un flou total : ni autorisé ni illicite. Le nouvel arrêté de décembre 2021 apporte des précisions à celui de 1990. Toutefois, certains passages ne concordent pas avec l’attente du public. Quoi qu’il en soit, le secteur continue sa progression. Le secteur du chanvre et du CBD est très prometteur La filière du chanvre est en plein essor dans le pays. Le CBD l’est également. Contrairement au THC, le cannabis médical s’avère plus efficace. Les principes actifs du cannabidiol n’embrouillent pas le cerveau et les consommateurs ne deviennent pas dépendants. L’image de cette molécule est plutôt positive auprès des consommateurs. Des statistiques explicites La France est le premier pays producteur de chanvre en Europe et elle détient actuellement la troisième place mondiale. Selon les statistiques officielles, sa plantation couvre 18.000 hectares de culture en 2020. L’État décompte 2.000 producteurs. D’après le Syndicat professionnel du chanvre, le marché est estimé à deux milliards d’euros. Le marché du CBD ou cannabidiol fleurit dans les rayons des magasins depuis environ deux ans. Toutefois, c’est au cours de l’année 2021 que les boutiques se sont le plus développées. Elles sont passées de 400 en début de l’année 2021 à près de 2.000 actuellement. Avec une forte capacité de production, on estime la part du cannabidiol à 700 millions d’euros cette année. L’État possède tous les atouts pour aspirer devenir prochainement un acteur important dans le marché de chanvre. Des précisions apportées Pour Ludovic Rachou, président de l’UIVEC, le nouvel arrêté est une opportunité pour l’industrie et l’économie. Une fois qu’un secteur est réglementé, il devient un marché d’avenir. Le nouvel arrêté a un mérite. Il encadre le secteur du CBD et offre de réelles garanties aux acteurs dans ce domaine. Ainsi, de nouveaux investisseurs vont pouvoir s’y impliquer de plus. Pour l’Interprofession Interchanvre, seuls les agriculteurs pourront faire pousser des plants de CBD. Une dizaine de producteurs intéressés ont déjà contacté l’organisation pour se lancer. Ludovic Rachou ajoute que de nombreux investisseurs sont attendus dans divers secteurs relatifs au CBD. L’arrêté restreignant l’usage du CBD vient d’être débouté par le Conseil d’État. Les acteurs de ce secteur peuvent soupirer en attendant la décision finale. Quoi qu’il en soit, les produits qui ne sont pas concernés par l’interdiction pourront toujours fleurir. Un vaste champ d’application Dans l’attente du verdict final du Conseil d’État concernant l’arrêté de décembre 2021, le commerce de CBD reprend normalement. Certaines variétés du cannabis Sativa L. qui font partie du chanvre industriel restent autorisées à la vente. D’ailleurs, même si la décision serait défavorable, de nombreux produits resteront toujours disponibles à la consommation. Le CBD est loin d’être une drogue comme le gouvernement semble le penser. Cette molécule n’est pas dangereuse. Elle connaît diverses utilisations et sont disponibles sous toutes formes dans les rayons. Les gammes se déclinent en essences ou huiles, cosmétiques, tisanes, compléments alimentaires, friandises et bien d’autres encore. Les huiles de CBD font partie des produits phares. Elles sont couramment utilisées en vaporisation et inhalation. De temps en temps, on utilise son extrait en ingestion, parfois mélangé avec une essence de chanvre ou d’olive. L’huile de CBD est aussi disponible en gélules pour ceux qui ne supportent pas leur goût. Certains produits cosmétiques contiennent également du CBD, en respectant le taux de THC autorisé. Dans les rayons cosmétiques, on peut trouver des crèmes à base de CBD. Appliquées sur le visage ou sur les mains, elles font disparaître les acnés, inflammations et autres affections cutanées. Rempli de nutriments, le CBD peut être utilisé dans des denrées alimentaires, dans les compléments ou en alimentation animale. Il est disponible dans les rayons des magasins sous forme de bonbons, barres de céréales, chocolats et autres produits. Le CBD est autorisé à entrer dans la fabrication de médicaments. Le seul en France qui en contient exclusivement est l’Epidyolex. Celui-ci est prescrit en cas d’épilepsie. Les avis des médecins divergent quant aux vertus thérapeutiques et aux effets secondaires du cannabis sur la santé. Toutefois, ses actions antistress et antidouleurs sont avérés. Les fleurs, les bourgeons et les feuilles de CBD sont également très recherchés. La concentration de molécules de CBD est importante dans ces produits. Toutefois, le taux de THC, une substance stupéfiante, reste très bas. Ils sont couramment utilisés en infusions et en herbe fumée. Un domaine réglementé et une occasion à saisir pour les industriels L’arrêté de décembre 2021 a suscité de nombreux débats auprès des producteurs et vendeurs de CBD. La commercialisation des fleurs, qui est réellement aux cœurs des discussions, représentent une partie non négligeable du marché. Cependant, l’interdiction de vente des fleurs et feuilles ne signifie pas forcément la fin pour les boutiques de CBD. Il reste de nombreuses possibilités pour les producteurs et les industriels. Un secteur réorienté Le président de l’UIVEC Ludovic Rachou parle plutôt d’une réorientation du marché. Selon lui, la prohibition des fleurs laissera s’épanouir le marché global. Valérie Saintoyant de la MILDECA affirme que le texte est une garantie de sécurité pour l’activité commerciale. Maintenant que les précisions ont été apportées, les acteurs réticents peuvent se lancer. Jusqu’ici, la commercialisation de CBD était dans un flou total, même si de nombreux acteurs se sont fait des places. Les dispositions de l’arrêté de 1990 concernent la culture et la vente de chanvre en général, pas précisément du CBD. Toutefois, cette réglementation a été appliquée à ce dernier. Seule la vente de fibres et de graines de cannabis y était autorisée. Avec le nouvel arrêté de 2021, la production de CBD peut officiellement devenir une filière. Même si les dispositions prises ne correspondent pas tout à fait aux espérances des commerçants. Des mesures de sécurité publique ont été prises L’arrêté tant controversé concerne notamment la vente de fleurs et de feuilles de chanvre qui sont chargées en CBD. L’interdiction vise les fumeurs de cannabis. La majorité des produits dérivés du CBD ne sont pas concernés par l’interdiction. Il s’agit entre autres de résines, de crèmes, d’huiles, de bonbons et de barres de céréales. Même les liquides à mettre dans les cigarettes électriques sont toujours commercialisables. Le seul impératif concerne le niveau de THC qui doit être nul en fin de processus de production. La vente de ces produits aux mineurs est également interdite. Le soutien de l’Union Européenne Le développement rapide de la filière CBD a entraîné un désaccord entre l’État et les producteurs. Les controverses autour de cette substance ne concerne pas seulement les cultivateurs, les commerçants et l’État français. L’Union Européenne entre également en action. Les attentes La légalisation ou dépénalisation du cannabis est très attendue par les 18 millions de Français qui en ont déjà consommé. Malte, Allemagne et Luxembourg sont sur le point de franchir le cap. L’ancien président de la France, François Hollande rapporte que le secteur a toujours évolué illégalement. Selon lui, il est impératif de légaliser le commerce pour mieux le contrôler. D’autres pays comme l’Espagne, le Pays-Bas, le Canada et les États américains autorisent même l’usage récréatif du cannabis. Une histoire continuelle entre l’État et les producteurs de CBD La France a déjà essayé d’interdire la vente de CBD auparavant. Toutefois, cette décision a été stoppée par la Cour de Justice de l’Union Européenne. A présent, l’État persiste et spécifie les fleurs qui, selon les commerçants, représentent une grande part de leurs chiffres d’affaires. Selon Aurélien Delecroix, le marché du chanvre brut vaut plus d’un milliard d’euros, soit le double des produits finis. Les défenseurs du chanvre ont ainsi déposé des recours pour annuler cet arrêté restreignant leurs activités. Heureusement, le Conseil Constitutionnel estime que le cannabidiol n’est nullement un stupéfiant. Les acteurs du secteur CBD obtiennent donc un sursis. De son côté, le gouvernement affirme qu’il est impossible de contrôler le taux de THC de chaque cannabis en circulation. Cet argument a toutefois été revu lorsqu’une commerçante raconte son histoire. Elle confirme que les policiers avaient les appareils de contrôle adaptés lorsqu’ils sont venus dans sa boutique. Les vendeurs de CBD ont dernièrement multiplié les actions en justice contre l’État. À travers l’arrêté de décembre dernier, le gouvernement soutient la Mildeca qui affirme que cette substance était psychoactive. Le commerce de CBD est donc, pour l’instant, limité. Des arguments qui tiennent Les défenseurs du CBD comptent se battre jusqu’au bout et remporter l’affaire. Selon eux, cette substance n’est pas nocive et n’engendre pas la toxicomanie. Par ailleurs, la réglementation française se montre discriminatrice en autorisant l’alcool et le tabac. Le CBD est parfois confondu avec le THC et avec le cannabis lui-même. La fleur de chanvre est destinée à être fumée ou infusée. Ainsi, ceux qui en achètent ne sont pas tous fumeurs. D’ailleurs, on attribue au CBD des vertus relaxantes, antidouleurs et anti-inflammatoires. D’après Laurent Chevallier, le CBD est une molécule prometteuse pour la science et fait l’objet de milliers d’études. Le vapotage est une meilleure alternative à l’utilisation de fleurs en joint à fumer. Cela réduit l’effet de dépendance. Le psychiatre Nicolas Authier affirme que les particules actives du CBD sont plus efficaces dans un corps gras. Ainsi, en faire une tisane n’est pas forcément nécessaire.
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